|
| m a x » reckless serenadehopeless romantics and realists Messages : 53
Avatar + © : Ruby Rose + loudsilence
Pseudo : Sarcastik Moose
Age : 27 yo
Status : myocarde hors service
| () m a x » reckless serenade Ven 3 Avr - 2:28 | |
| Lancaster, Maxine Rose | When she laughs the heavens hum a stun gun lullaby | date de naissance : Un 18 décembre au matin, il y a de cela vingt-sept années. signe astrologique : Sagittaire. L'agressivité dans l'égoïsme, dans l'incapacité d'écouter les conseils. Bourgeoisie sauvage et indompté, paradoxe ambulant d'un coeur abimé, meurtri. lieu de naissance et nationalité : Tu n'as jamais obtenu une autre nationalité que celle de ta ville de naissance. Américaine dans l'âme malgré le sang hispanique à tes veines, tu es née ici-même à Liberty heights. origines : Hispano-américaine. Ta facilité à bronzer démontre que tu n'es pas une pure américaine, que ton sang est mêlé à d'autres origines. Ton côté hispanique, tu le tiens de ta mère. Si tu as appris à bien maitriser l'espagnol et que tu es bilingue grâce à elle, autant dire que tu l'utilises surtout pour jurer et quelques phrases occasionnelles. Tout le reste, c'est de l'américain de ton père. Malheureusement. année d'études : Trois années en éducation physique à la sortie du lycée, tu as présumé que c'était suffisant. Ton but est de devenir athlète, de toute façon, sans savoir si tu allais y arriver. métier : Entraîneuse sportive. Tu travailles dans un gym afin de créer des routines et accompagner les clients dans leur cheminement. Si besoin, tu offres tes services en privé également. statut civil : T'as merdé. T'as fais une pure connerie. Tu l'as laissé parce que t'as eu peur. Parce que son comportement violent, si admirable dans ses défenses, aura été trop loin qu'une fois et tu as fuis. Tu ne lui as pas même donné d'explications, t'as juste mis fin à tout ça. Mais tu l'aimes probablement encore malgré les années et tu ne sais pas comment faire, maintenant. Alors tu enchaînes les conneries, les lits, c'est plus simple comme ça. est à liberty heights depuis : Toujours. Tu vas peut-être y crever ici, qui sait. Si t'as pas eu le courage de fuir avant. Si t'es pas partie sur un coup de tête vivre ailleurs. somwhere over the rainbow Maxine, en quelques mots, c'est... Têtue, franche, vulgaire, intelligente, libertine et volage, hautaine, fêtarde, intimidante, insécure, sensible, douce, romantique, protectrice, aime s'amuser, secrète, passionnée, énergie.» One hell of a story.Cuillère dorée entre les lèvres, tu as cru à une vie parfaite. Une vie faites de bonheur et similaire à ces contes de fée qu'on te fait regarder, ces Disney avec ces princesses. Si au départ tu en auras été émerveillée, de tes grands yeux d'enfant innocent. Si tu y as cru, avec ce coeur encore bon et sans blessure aucune, on a rapidement tué tes illusions. Une enfance qui semblait pourtant normal, un père qui n'était pas toujours présent pour cause de service militaire, une mère à la maison qui s'occupe de toi. Grande maison, parents aimants, de quoi faire de toi une enfant gâtée. De faire de toi cette gamine de riche, qui croit que la terre entière se devrait de lui être reconnaissante. Mais pourtant, non. Toi, ta princesse à toi, on te l'a arrachée injustement. Tu n'avais que dix ans, bientôt onze, quand c'est arrivé. Un petit accident, c'est tout ce que ça aura pris. Ton père absent, incapable de savoir si il reviendra, s'il ne va pas mourir là-bas et toi... Toi, Max, tu es là, avec une babysitter qui te protège, le temps d'une nuit. Le temps que ta mère prenne une petite soirée de congé de son rôle de mère afin d'être femme et sortir avec ses copines. Elles boivent, dansent, s'amusent pendant que toi, tu somnoles contre le canapé, devant un film, tentant bêtement de rester réveiller jusqu'au retour de ta princesse préférée. Mais les coups s'amènent à ta porte et c'est ta nounou qui va ouvrir. Puis, le visage s'aggrave. Un policier qui retire son chapeau. Tu ne comprends pas, tu ne fais que voir leurs regards qui se ramènent vers toi. Ta nounou s'approche et t'explique, te prend les mains et s'agenouille devant toi. Ta mère n'a pas survécu l'accident. Un conducteur, ivre, a percuté le taxi dans lequel elles revenaient et personne n'a pu faire quoi que ce soit. Ta mère est décédée sous l'impacte tandis que d'autres, plus injustement, sont désormais à l'hôpital. Et tu pleures, Maxine. Tu pleures toutes les larmes de ton petit corps parce que ta mère, c'est la personne la plus importante à tes yeux. La personne la plus présente et qui te comprend. Elle te comprend quand tu n'as pas l'impression d'être à ta place lorsque vous allez prendre le repas chez le frère de ton père. Parce que ta mère, elle, sait déjà que tu ne fais pas partie de ces types de personnalités, même en bas âge. Si ton père vise toujours l'élite et veut le mieux pour toi, ta mère sait que tu as des goûts différents. Elle te veut tout de même à son lycée de coeur, là où elle aura été éduquée, dans ce lycée privé de la ville. Pourtant, elle sait, ta maman. Elle sait que tu es plus facile à dire non, que tu es objective, que tu aimes débattre. Elle le voit que tu te tiens avec les petits garçons plutôt que les petites filles, mais que tu danses pourtant comme une jeune fille rendue à la maison. Elle le voit, que tu es pleine de contradiction. Elle te comprend, mais elle n'est plus de ce monde pour le faire. On te confie à ton oncle, temporairement, jusqu'au retour de ton père. Une semaine, le temps que l'information se rende jusqu'à la base militaire et qu'il puisse ainsi revenir pour s'occuper des préparatifs. Une semaine où malgré ton absence de sourire, malgré tes pleures la nuit, il y avait Dominic. Dominic qui parvenait, l'espace d'un instant, à te faire oublier ta perte tandis que vous vous amusiez à jouer aux pirates, vous tirailler. Tu auras toujours été plus proche de lui que de tes cousines, véritable garçon manqué que tu devenais. Puis il y avait ta tante, qui elle, t'appelait toujours par ce prénom que tu as appris à détester. Rose. C'est peut-être son accent, cette façon de le prononcer correctement contrairement à ta mère qui le déformait en "Rosa", mais tu détestais l'entendre t'appeler ainsi. Le meilleur de cette semaine, c'est et ça aura toujours été Dominic. Ton père a mal encaissé la nouvelle. Si la première semaine lorsque tu es revenue à la maison, il t'a serré dans ses bras et te laissait dormir dans son lit afin de rester près de lui, afin de te réconforter et, sans doute pour qu'il ne soit pas seul lui aussi, tout a éventuellement basculé. S'il était d'abord en arrêt de mission pour décès familial, les choses se sont dérivées. L'odeur d'alcool s'est mise à envahir son haleine et peu à peu, il se laissait aller, se délaissait. Tu n'avais plus le droit à sa chambre, il te parlait à peine. " Tu ressembles trop à ta mère!" qu'il te disait. Éventuellement, il a été remercié par l'armée, se retrouvant alors à domicile, sans travail. Vous étiez encore fortunés, il avait assez gagné, ta mère avait suffisamment mis de côté en prévention de problèmes. Elle avait déjà toute la somme accumulée jusqu'à ton université, ta mère. Puis il y avait l'héritage, qui prenait son compte. Vous roulez sur un or taché, sur une famille détruite. La femme de ménage qui s'occupe de votre maison, elle démissionne. Parce que ton père, il lui cri dessus. Elle t'offre ce regard en passant la porte pour la dernière fois. Ce regard désolé que tu te retrouves avec un homme tel que lui comme père. Mais elle quitte tout de même, ne t'amène pas avec elle. Puis, les insultes prennent de plus en plus de place dans votre quotidien. Il cri, râle. La maison devient sale jusqu'à ce que tu récupères tes forces pour le faire au mieux que tu peux, te basant uniquement sur ce que tu avais vu de la femme de ménage qui t'a délaissée là. Et il boit, encore et toujours plus. Et au final, c'est une gifle, ta toute première, que tu reçois à ton anniversaire. Parce que tu es insolente d'avoir osé lui demander ce que vous alliez faire pour fêter ta douzième bougie. C'est peu, encore heureusement. Les éclats de violence sont parsemés, nuage gris sur fond de ciel bleu. Rien d'orageux, mais pas encore dans l'éclairci. Mais peu à peu, ton caractère change. Tu insultes tes professeurs, tu ne fais pas tes travaux, tu fais des conneries. Mais ça augmente, toujours un peu plus. Au point que lors de tes treize ans, tu as peur de ton père et pourtant, tu l'aides tout de même à bien boutonner sa chemise. « Il faut bien paraître pour le repas, Papa. » Que tu oses lui dire. Le taux d'alcoolémie n'est pas à son paroxysme, tu peux encore tenter, tu peux encore t'en sauver. Vous allez à un repas familial chez ton oncle, ce soir. Tu portes un chandail long afin de couvrir les marques à tes poignets qui auront été serrés trop souvent, trop violemment. Heureusement, personne ne pourra voir les marques contre tes bras. Le repas se passe dans le calme, tout d'abord. Discussions classiques, simples, ennuyantes. Tu ne fais que manger, c'est plus simple ainsi. Au plus tôt ce sera terminé, au plus tôt tu pourras retourner chez toi, t'enfermer dans ta chambre, défoncer tes tympans avec ta musique et attendre que demain n'arrive. Car demain sera un jour meilleur, n'est-ce pas? Mais à un moment, le temps s'arrête. Tu restes une seconde suspendue la bouche entrouverte et la fourchette dans les airs, sur le point de s'amener à tes lèvres pour que tu prennes une bouchée supplémentaire. Parce que ta chère tante, elle délaisse un commentaire dégradant à la vue de ton père qui, encore une fois, a trop bu. " Nous serons toujours là pour Max, si elle veut avoir une chance dans la vie." Ce sous-entendu grossier, dégradant. Celui qui fait dire que sans eux, tu n'auras, ne seras, rien. Que tu as eu de la chance qu'on t'ouvre la porte ce soir-là, il y a de cela deux ans. Qu'ils seront toujours là pour toi, alors qu'ils ne l'ont jamais été depuis cette semaine-là. Cette semaine où tu leur as été imposée. L'hypocrisie à son meilleur car ils n'auront pas supportés ton père, n'auront apportés aucune aide dans son deuil. Ils auront été présents aux funérailles, puis plus aucune trace d'eux sauf quelques repas échangés par politesse. « Bande d'hypocrites, c'est pas comme si vous étiez là. » C'est râlé, marmonné. C'est un manque de respect, mais les paroles quittent tes lèvres sans même que tu ne le réalises, la fourchette délaissée sur l'assiette dans un bruit de porcelaine contre métal. Mais le son qui est plus poignant encore, c'est celui de peau contre peau lorsque ton père ose t'asséner une gifle en plein devant tout le monde. Puissante, douloureuse, qui cause un silence si ce n'est que quelques fourchettes qui tombent sous le choc du geste. Une façon de punir ton insulte alors que l'entrave venait d'eux. La colère se lit aisément dans le regard de ton père, sachant très bien que tu allais subir bien plus rendue à domicile, son geste tel un avertissement. Ta main s'amène à ta joue, myocarde débattant dans ta poitrine et finalement, tu oses détourner le regard vers le reste de ce que tu daignes appeler famille. Il n'y a plus aucun bruit et les regards se détournent, évitent, se font fuyants. Personne n'ose te défendre, protester, parler. Personne pour t'apporter ce soutien tant clamé quelques instants plus tôt. Tes iris se font plus humides, blessée du haut de tes treize ans. Blessée et abandonnée. « "Toujours là", hein? Pathétique. » Que tu relâches avec haine sur les lâches qui ne réagissent pas et tu quittes la table, la chaise grinçant contre le sol au travers du silence glacial. Et tu fuis. Ton père se relève pour te rejoindre, mais on le retient. On lui dit que tu reviendras, de toute façon. Qu'il fallait te laisser faire ta crise. Sauf que tu ne reviens pas, ce soir-là. Plutôt, tu demandes à un ami s'il y a moyen de venir te chercher. Il est plus vieux, mais pas autant que son ami qui te ramène à leur fête. Et c'est ce soir-là que tu touches les vices pour la première fois. Alcool, drogue, le début de ta déchéance. La violence se voulait de pire en pire, à domicile. Toujours plus forte, toujours plus douloureuse, toujours plus difficile à encaisser. Et toi, on te fait taire. Parce que toi, t'es la petite rebelle, désormais. Celle qui parle mal, qui insulte, qui se retrouve en détention. Celle qui fume, qui boit, qui s'est fait tatouée. Tu te tiens avec des gens qui sont trop peu respectables, mais ce sont tes amis et ils te supportent sans doute bien plus que tout le reste de ces connards qui sont dans ton monde. Dominic ne te regarde plus, ton père et toi n'êtes plus invités à ces repas de famille. Il n'y a qu'eux. Et tu es en pleine chute libre, Max. Ta sensibilité s'est enfermée au fond de ton coeur à triple tours, afin de simplement ressortir cette haine qui n'attendait que ça depuis ces années d'accumulation. Tu grandis, mais tu te détruits au fur et à mesure. Prise dans les péchés, les vices, entre les fêtes, les abus d'alcool et les drogues diverses, la cigarette juste pour calmer, la mari' rien que pour planer. Le sexe qui détend, mais qui ne va jamais réellement plus loin que des baisers et quelques gestes sales lors d'une fête, cachés derrière une porte de chambre fermée. Sauf que tu tournes autour du même type bien plus souvent que tout le reste. Celui de la bande. Celui qui semble te défendre au moindre geste de travers avant même que tu ne parviennes à aboyer. Celui qui devient ton oreiller de par son épaule ou ses cuisses quand t'as trop bu le temps d'une soirée. Celui avec qui tu t'enfermes dans la salle de bain non pas pour des saletés, mais bien pour des regards qui en disent long tandis que tu oses t'ouvrir, démontrer un peu de douceur pour appliquer de la glace sur sa main ou y nettoyer le sang, joint partagé que tu coinces entre tes lèvres et la bouteille d'alcool à vos côtés. Que des raisons pour passer un peu plus de temps ensemble, seul à seule, qu'avec les autres. Puis, après tout ce temps à vous tourner autour, vous l'admettez. T'es tombée amoureuse. Celui qui se veut intense, puissant, envahissant, destructeur. Celui qui fait mal en l'absence de l'autre. C'est devenu ton échappatoire, ta protection envers le monde extérieur. C'est chez lui que tu fuis lorsque tu veux échapper à ton père. Tu ne l'amènes jamais chez toi, sauf si la maison est vide. Tu lui caches cette partie de ta vie parce que tu ne veux pas briser l'idylle. Sauf que ça ne peut pas toujours aller comme tu le veux, n'est-ce pas Max? Il faut bien que tu fasses une connerie de plus. Et ta plus grande connerie, c'est de le laisser. Mais t'y peux rien, t'as pris peur. T'as pris peur de le voir là, avec ce regard plein de haine et une rage qui te fait te demander s'il ne va pas plutôt tuer l'inconnu. Il est plein de colère qu'on ait osé te toucher et il frappe. Il frappe sans cesse jusqu'à ce que tu oses lui demander d'arrêter. Tu cherches à le faire se calmer, mais il redescend trop lentement. Et c'est peut-être un souvenir douloureux qui remonte à la surface sans que tu ne le réalises, c'est peut-être un regard qui t'a fait pensé à ton père, tu n'en sais rien, au fond. Mais ce soir-là, après quasi deux années de relation, après avoir accepté cette relation à distance quand il est parti à New York, après avoir fait au mieux malgré son manque de temps pour toi, t'as eu peur. Peur de ses limites, de jusqu'où il pourrait, comme si tu t'étais déshabituée de son comportement agressif par moment, avec la distance imposée. T'as eu peur quand il s'est avancé vers toi avec ce regard mauvais qui ne t'était pourtant pas destiné. Alors t'as tout lâché. Tu l'as laissé, sans trop d'explication. Laissant tout là, étalé dans tes paroles incertaines, la confusion qui saurait lui faire croire qu'au fond, tu n'as jamais enduré ses élans de colère. Chose absurde, ridicule, alors que tu es toi-même une petite boule de haine, de rage et de violence. Mais les paroles n'éclaircissent rien et tu laisses les choses ainsi. Et dès que tu reviens chez toi, tu t'en veux, Maxine. Tu t'en veux parce que ton coeur lui appartient encore. Et même les mois suivants, incapable de te lasser de sa personne même si tu laisses d'autres prendre possession de ton corps. Incapable de l'oublier, de passer à autre chose. Tu as fais une erreur, tu le sais, mais tu es trop fière pour l'avouer. Tu es trop anxieuse à l'idée de devoir tout expliquer. Alors tu te tais et tu persistes à faire les mauvais choix. Un pied devant l'autre, dans l'auto-destruction. Tout est mieux, de toute façon, que de te laisser détruire par ton père. Puis, c'est Maddox. Ton ami depuis toujours. Vous vous réconfortez, petit à petit, dans ce départ et cette disparition graduelle. Un verre, puis deux. Des rires, des corps qui se collent et finalement, c'est l'intimité. C'est la douceur et le réconfort pour réparer un coeur brisé. Tu ne parviens jamais entièrement à l'oublier, mais il apaise les blessures. Éventuellement, tu déménages, il t'aide à tourner la page, t'aide à te reprendre un peu en main. Tu lui fais confiance, à Maddox. Même s'il t'amène sur sa moto comme un rebelle et que vous buvez jusqu'à en perdre la tête. Tu parviens à cesser de te droguer, mais l'alcool et la cigarette, c'est encore difficile. Pas trop le choix de cesser ce geste nuisible si tu voulais devenir entraîneuse. Sauf que la clope, c'est putain de difficile et tu y retombes à chaque fois. Ça calme, ça détend, bien que ça ne règle rien finalement. Ça ne calme pas les blessures profondes. Tu vas de lit en lit, drap en drap, mais tu ne vois pas. Tu ne vois pas que cette relation d'amants, avec Maddox, commence à signifier autre chose pour lui après toutes ces années. Tu imagines simplement une relation d'amis avec bénéfice alors lorsqu'il fait le pas, lorsqu'il demande à ce que vous déménagiez ensemble, merde, tu es hilare Maxine. Tu crois que c'est l'une de ses blagues qui te fait rire chaque fois, qui te fait rappeler par moment que la vie, elle est parfois belle. Tu bosses dans un gym, tu commences à offrir tes services en privé, tu te fais un nom. Tu as ton appartement, ton chien, ton indépendance. C'est comme ça qu'il te fait sentir, Maddox, au travers de ces poignets et cuisses lacérés. Au travers de ces abus d'alcool qui persistent. Au travers de ces vices dont tu ne sais te débarrasser et de ta rage qui continue de gronder. Alors quand il propose de vivre ensemble, tu ris. Tu es légère, ça t'amuse, tu lui réponds une connerie et finalement, tu le blesses. Une crise, soudaine, puis c'est lorsque tu vas pour cogner à son appartement que tu comprends qu'il est parti. Il a disparu, lui aussi. Et tu ères depuis, sans savoir où te placer, où te poser. Sans savoir comment tu vas réellement avancer alors que tout ce que tu avais, jadis, s'écroule sous tes pieds, pleinement inconsciente que tu allais être de nouveau confronté au destin. Plus rapidement que tu ne le crois, d'ailleurs, et tu es nullement prête, prise sur cette corde fine, apte à basculer au moindre moment de cet équilibre précaire. boisson préféré : S'il y a de l'alcool, normalement ça te conviens. pâtisserie préféré : Tu hésites difficile entre un gâteau à la vanille et framboises ainsi que des crêpes chocolat-fraise. plat préféré : Difficile de résister au gaspacho que te faisais ta maman. Tu fais sa recette chaque été. chanson qui vous fait danser : Difficile à dire, vous avez vu la playlist pour les entraînements au gym? Ouais, c'est relativement long et elles parviennent toutes à te donner l'énergie suffisante pour t'entraîner. Et danser? Tu danses sur tout ce qu'il y a du rythme, en soirée. Si c'est mauvais et que tu y danses encore, cependant, c'est sans doute signe que tu as trop bu et que la descente aux enfers n'est pas loin. saison préféré : La froideur de l'automne, juste assez présente pour entendre les bottes faire craquer les feuilles mortes contre le pavé. L'approche de l'hiver qui n'est pas encore là, les couleurs du paysage, l'odeur de la pluie qui sèche parmi les feuilles asséchées. Les manteaux de cuir et les jeans troués. Pas encore trop froid, loin de la trop grande chaleur. Température parfaite. peurs : La main qui s'élève sous un éclat de colère, sous des paroles prononcées trop fortement. La colère dans le regard, mais y'a que la main que tu regardes et dont tu as peur qu'elle s'abatte fatalement sur toi. Ça ne t'empêche pas de te battre, mener combat, mais la crainte est là si ça vient des gens que tu aimes. Puis il y a ce manque d'aisance dans la noirceur la plus complète: autant admettre que tu détestes les pannes de courant. réussites : Ton emploi, visiblement. À la sortie du lycée, tu étais persuadée que tu n'arriverais à rien, que tu n'irais nul part. Pourtant, tu l'as fais, tu as obtenu ton diplôme. Puis tu as quitté ton paternel, aussi. Tu t'es trouvé un appartement et ça, ça te fais du bien. Que dire de cette drogue que tu as arrêtée? Petites victoires les unes après les autres, peut-être un jour tu auras le courage de laisser ton coeur parler. animaux de compagnie : Un border collie. Pas trop gros, assez actif pour l'amener avec toi lorsque tu fais ton jogging. Tu passes peut-être plus souvent la balayeuse depuis que tu l'as chez toi, mais tu l'adores beaucoup trop pour t'en plaindre réellement. style vestimentaire : Tu t'habilles comme tu le souhaites. Tu as certaines habitudes restantes de quand tu étais bien plus jeunes, à porter encore parfois ces talons et le décolleté plongeant afin d'attirer le regard. Autant que tu peux être ainsi que simplement avec un jeans et un teeshirt, de façon bien banale. Rien à voir avec ton legging et ton top sport. Cependant, tu fais attention. Tu tentes toujours de trouver comment cacher les marques à ton corps, la mutilation que tu te vois incapable d'arrêter. Ce n'est pas pour rien que tu préfères faire l'amour dans le noir, qu'importe comment tu fausses en disant que c'est pour garder le mystère. Non, c'est juste pour éviter de voir les coups de rasoirs. pseudo, prénom : Sarcastik Moose, Melissa âge, pays : 27, QC votre smiley préféré : J'hésite entre et ! autre? : Je sais pas faire court et le personnage avait beaucoup de contenu de base, je savais pas où couper
Dernière édition par Maxine Lancaster le Dim 5 Avr - 0:29, édité 13 fois |
| | | hopeless romantics and realists Messages : 35
Avatar + © : reece k. (moses)
Pseudo : shitpost.
Age : twenty-four
Status : fucked up
| () Re: m a x » reckless serenade Ven 3 Avr - 2:29 | |
| toujours aussi jolie. toujours avec ton amas de potentiel. toujours avec ton talent.
j't'envoie du love mystérieux. bienvenue |
| | | hopeless romantics and realists Messages : 53
Avatar + © : Ruby Rose + loudsilence
Pseudo : Sarcastik Moose
Age : 27 yo
Status : myocarde hors service
| () Re: m a x » reckless serenade Ven 3 Avr - 2:40 | |
| Ouhlala, comment on me jette des fleurs J'vais finir par être gênéeTon love est pas si mystérieux que ça, mais ça me plais bien Merci p'tit chat |
| | | hopeless romantics and realists Messages : 35
Avatar + © : reece k. (moses)
Pseudo : shitpost.
Age : twenty-four
Status : fucked up
| () Re: m a x » reckless serenade Ven 3 Avr - 2:40 | |
| je suis ultra mystérieux ok bibi |
| | | hopeless romantics and realists Messages : 53
Avatar + © : Ruby Rose + loudsilence
Pseudo : Sarcastik Moose
Age : 27 yo
Status : myocarde hors service
| () Re: m a x » reckless serenade Ven 3 Avr - 2:53 | |
| |
| | | • found the beauty in every day • Messages : 138
Avatar + © : maia mitchell, mine.
Pseudo : eveymoon, math.
Age : twenty-six yo.
Status : single, pregnant (21st weeks of pregnancy).
| () Re: m a x » reckless serenade Ven 3 Avr - 6:39 | |
| J'aime déjà la petite. Bienvenue parmi nous beauté. |
| | | hopeless romantics and realists Messages : 162
Avatar + © : toby wallace, eveymoon
Pseudo : sagebloom, clau
Age : twenty-seven
Status : single and father to be, a situation more messed up than it looks
| () Re: m a x » reckless serenade Ven 3 Avr - 6:49 | |
| |
| | | hopeless romantics and realists Messages : 53
Avatar + © : Ruby Rose + loudsilence
Pseudo : Sarcastik Moose
Age : 27 yo
Status : myocarde hors service
| () Re: m a x » reckless serenade Ven 3 Avr - 14:00 | |
| Ow vous êtes chou Y'a des trucs qui ne sont pas encore coulés dans le béton, notamment l'avatar et l'âge xD Mais je suis ravie que ça vous plaiiiise |
| | | hopeless romantics and realists Messages : 28
Avatar + © : Dove Queen Cameron
Pseudo : SPf
Age : 18 années qui passent sans pouvoir les figer
Status : C'est une question ?
| () Re: m a x » reckless serenade Ven 3 Avr - 14:01 | |
| Bienvenue et bon courage |
| | | hopeless romantics and realists Messages : 38
Avatar + © : will higginson (SWEET DISASTER)
Pseudo : bat'phanie
Age : 28 ans
Status : La poitrine vide, les mains tendues : petit petit petit...
| () Re: m a x » reckless serenade Ven 3 Avr - 23:27 | |
| hop hop hop on avance sa fiche, qu'on aille faire un tour de moto (pis j'ai hâte de voir les icones choisis d'abord !!!) jsuis con, aime moi quand même... le choix des icones donc !! |
| | | hopeless romantics and realists Messages : 53
Avatar + © : Ruby Rose + loudsilence
Pseudo : Sarcastik Moose
Age : 27 yo
Status : myocarde hors service
| () Re: m a x » reckless serenade Sam 4 Avr - 1:01 | |
| |
| | | hopeless romantics and realists Messages : 70
Avatar + © : nikolaj coster-waldau, ©Gajah
Age : cinquante ans, le demi-siècle est atteint.
Status : divorcé, par deux fois et toujours amoureux de son premier amour.
| () Re: m a x » reckless serenade Sam 4 Avr - 5:51 | |
| très bon début de fiche, elle envoi du lourd la petite bienvenue sur le forum, et bon courage pour le reste de ta présa' |
| | | hopeless romantics and realists Messages : 36
Avatar + © : lily collins, turtle (sign bat'phanie)
Pseudo : bambi
Age : 24
Status : célibataire
| () Re: m a x » reckless serenade Sam 4 Avr - 16:55 | |
| allez allez, on s'active par ici, y en a qui attende j'ai hâte de lire la suite et de trouver un lien du tonnerre |
| | | hopeless romantics and realists Messages : 162
Avatar + © : toby wallace, eveymoon
Pseudo : sagebloom, clau
Age : twenty-seven
Status : single and father to be, a situation more messed up than it looks
| () Re: m a x » reckless serenade Sam 4 Avr - 23:22 | |
| Wow, cette fiche. Je viens seulement de finir mais genre, pas de chance et en même temps, très original toute l'histoire avec sa famille. Trop hâte de la voir en jeux! Je valide! |
| | | hopeless romantics and realists Messages : 53
Avatar + © : Ruby Rose + loudsilence
Pseudo : Sarcastik Moose
Age : 27 yo
Status : myocarde hors service
| () Re: m a x » reckless serenade Sam 4 Avr - 23:25 | |
| Oui les Lancaster sont... particuliers xD Contente que ça a plu Merci pour la validatiooon Orson; Merci chat, faut j'pense à venir t'embêter pour un lien Wendy: Oh you C'est terminé, maintenant on peut fouiller ça |
| | | | () Re: m a x » reckless serenade | |
| |
| | |
m a x » reckless serenade
| |
|